" Au
sommet de ma pyramide, je place un texte merveilleux, issu d'un atelier
d'écriture dirigé par Gille Crépin de la compagnie Épices et Parfums :
MAKALEÏ. Un long monologue récité par l'auteur, dans un décor monacal.
Un soliloque d'une rare poésie dans lequel les mots s'attachent
naturellement les uns aux autres, s'imbriquent les uns dans les autres
pour le plus grand plaisir de l'auditeur. Dans le fond, il n'y aurait
même pas de décor que ce serait tout aussi merveilleux. Proficiat. "
Michel Dagneau - Le Bibliothécaire - Genappe
B - septembre 2005
"
Un spectacle simple et touchant où l'auteur - acteur, proche des
spectateurs (petits et grands), nous entraîne dans une histoire
captivante de jumeaux rivaux, de Pays d'en Haut, d'herbe d'oubli,
d'homme transformé en ours et de princesse amoureuse...
Un spectacle à voir et à écouter, un conte philosophique servi par une
scénographie sobre et efficace et une musique envoûtante. Le texte du
spectacle est édité par la Cie Épices et Parfums. "
Sophie Balazar - L'Atelier Théâtre -
septembre 2005
"
Makaleï (de et par Gille Crépin) parle des forces qui régissent le
monde et la nature de l'homme. L'histoire des deux frères est comme un
revers d'un même destin. Quelles conséquences aura le choix de tel
chemin ou d'un autre ? Un conte puisant ses racines dans l'ancienne
Egypte, retrouvé dans les légendes irlandaises, recréé avec un grand
talent et interprété avec un charisme de vieux barde par Gille Crépin,
au Théâtre Albatros. "
Agnieszka Kumor, Radio France Internationale
(émissions en langue polonaise),
Les Actualités Théâtrales - les échos du
Festival d'Avignon
"
… Alors, on se fait sa propre histoire durant l'histoire de l'autre… "
Valèr' Aigouy - Radio Caraïbes International
- 17 juillet 2004
"
À travers ce conte presque philosophique, nous reconnaissons les
travers de notre société manichéenne et égoïste, où la différence prend
plus souvent le visage du rejet que de la tolérance. Un mot magique
surgit alors sur le bord de nos lèvres, comme un mot de passe vers un
monde meilleur : Makaleï ! "
Claire
Demaisons - e.gazette Avignon - 21 juillet 2004